Affichage des articles dont le libellé est X Main courante et tutti quanti. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est X Main courante et tutti quanti. Afficher tous les articles

samedi

Christian-Louis Eclimont


Sidération, incompréhension, tristesse, tels sont les sentiments qui m'ont cueilli vendredi en apprenant le soudain décès de Christian-Louis Eclimont, fauché la veille en pleine vie, à l'âge de 67 ans. J'avais rencontré Christian à Granville voici une décennie. Nous avions passé un formidable week-end avec  l'historien maritime Michel Aumont  et le revoyais de loin en loin avec le plus grand plaisir. C'est un camarade jeu que j'aime beaucoup, que j'admire également, si chic, amical, drôle, curieux de tout, d'une culture d'un éclectisme fou, passionné, séduisant, bavard, élégant.  Brillant touche-à-tout, comédien et parolier, scénariste et écrivain, il était la vie même. Sale camarde, très sale camarde. Je garderai assurément le souvenir d'un grand monsieur trop tôt disparu.

Ayant eu le plaisir à faire un entretien avec Christian pour l'un des trimestriels, j'y avais croqué sa tête. Ce dessin avait eu le bonheur de lui plaire.

L'auteur, en quelques mots. Outre quelque 300 chansons enregistrées, Christian a composé  une quarantaine de livres en quelque deux décennies, deux romans et  des livres de genre pour l'essentiel, comme autant de témoins de ses passions ô combien multiples, parmi lesquelles émergent le rock, le cyclisme, la chanson française, en un mot la pop culture. Voici :

  • Qui a tué le maillot jaune ?, 1995.
  • Tuer la bête en moi, 1996.
  • Berry-Texas, 1998.
  • Almanach du Cyclisme, avec Guy Caput, 1998.
  • Ma vérité, avec Richard Virenque, 1999.
  • Anthologie du cyclisme, 1999.
  • Cyclisme nostalgie, préface de Cyrille Guimard, 2006.
  • Les zilarants, 2007.
  • Eric Liot, ma vie chez les super-héros, 2007.
  • Bernard Pras, Inventaires, 2007.
  • Swinging Sixties, 2009.
  • Daniel Gastaud, continuum, 2009.
  • Gilbert Collard, l'avocat de l'impossible, avec Gilbert Collard, 2010.
  • Il était une fois Joe Dassin, 2010.
  • Georges Brassens par ses chansons, 2011.
  • Petits mails entre amants, 2011.
  • Ma vie sans cinéma,, avec Jean Becker, 2011.
  • 1000 chansons françaises, 2012.
  • Rock'o'ricko, 2012.
  • Francky Boy, 2012.
  • Piaf par ses chansons, 2013.
  • J'y étais, avec Jean-Luc Moreau, 2013.
  • Le tour de France en 100 histoires extraordinaires, 2013
  • Cinémad, 2014.
  • Les chansons de l'Histoire de France, 2015.
  • Waty, 2015.
  • Si Paris m'était conté, 2016.
  • Le Tour de France, livre officiel 2016.
  • Catch, l'âge d'or, 2016.
  • Madame Vérité ou la conspiration des étoiles, 2017.
  • Le grand livre du pop, 2018
  • Bas boys du cyclisme, 2018.
  • Mai 68, actions et réactions, 2018
  • Crimes à la Une, 2019.
  • C'était l'âge d'or de la Chanson, 2019.
  • Gaston, avec Christophe Bier, 2019.
  • Le grand livre du Père-Lachaise, 2020.

Originaire du Perray-en-Yvelines mais Normand depuis quelques années, le boulimique d'écriture qu'il était avait réalisé également en 2017 un chouette roman, Madame Vérité ou la Conspiration des étoiles, sur une Ornaise, la fameuse Mlle Lenormand.

 

 Une photo de jeunesse, très parlante à mon sens sur sa gouaille et son brio.


dimanche

Rentrée de janvier 21 !


En ce début de premier trimestre 2021, je suis présent en kiosque, précisément dans trois trimestriels du groupe Oracom, pour une série d'articles divers à vocation historique dont je préciserai ultérieurement la teneur. Pour aussi une poignée de dessins à la sanguine, notamment sur le banditisme corse et marseillais.

 



Signatures


Malgré la seconde vague de la Covid, les signatures reprennent...

Rassemblement armé


L'avantage, quand on a un aïeul un brin turbulent, c'est qu'un événement peut parfois en cacher un autre. C'est le cas avec Louis Miniac (1822), celui autour duquel il est prévu que s'articule prochainement un documentaire réalisé par une société de production californienne pour une chaîne française. Ce jour, 2 août 2020, nous apprenons que le cher homme fut écroué à la prison de Saint-Malo, Ille-et-Vilaine, le 14 septembre 1848, au motif de "rassemblement armé".  L'intérêt de ce fait nouveau est qu'il révèle un pan tout autre du profil de Louis, alors cordonnier et jeune père de famille de 26 ans. Quatre ans après, il quittera la France en mai 1852, quittant définitivement sa femme et ses quatre enfants par la même occasion,  pour tenter sa chance lors de la ruée vers l'or en Californie. Jusqu'à présent, nous pensions que, cordonnier ruiné, Louis faisait partie de cette poignée de Bretons et de Normands proches des milieux maritimes pour jouer de cette proximité et être accepté comme passager à titre gratuit lors des voyages des "lingots d'or" financés par le nouveau pouvoir mis en place par Napoléon III  après le coup d"Etat de décembre 1851. Or, l'essentiel des quelque 3000 Français partis comme "lingot d'or" vers la Californie étaient des indésirables à la fois volontaires et  choisis par la préfecture de police de Paris, dont beaucoup de Républicains opposés au nouveau  pouvoir impérial. La participation de Louis à un"rassemblement armé"à Saint-Malo  à l'été 1848 change la donne. Alors, en septembre 1848, la Deuxième république vient d'être instaurée mais, depuis juin, un nouveau gouvernement a été mis en place, celui du général Cavaignac, ce jusqu'à l'élection présidentielle de décembre qui verra ce Bonaparte être élu à la présidence de la République, prélude à son coup d'Etat du 2 décembre. Formé de Républicains modérés, ce gouvernement Cavaignac compose avec les monarchistes... Louis aurait-il été un de ces Républicains plus radicaux dans l'oeil du pouvoir ? Mystère pour le moment...
Cette mise au écrou est-elle à rapprocher à la journée du 7 septembre 1848, jour d'émeutes à Saint-Servan ? Sans doute.  Ne serait-ce que parce que ce fameux 14 septembre, des dizaines de Servannais sont écroués à Saint-Malo, comme d'autre auparavant le 11 septembre. Parmi eux, nombre d'artisans. Le matin du 7 septembre,  journée insurrectionnelle appelé "Révolution des pommes de terre", des émeutiers servannais et malouins partis du casino de l'actuelle place Monseigneur Duchesne (voisin du Cunningham's) gagnaient le quai Trichet où des bateaux chargeaient des cargaisons de pommes de terre à destination de l'Angleterre. L'exportation de ce tubercule, denrée alors rare en raison de mauvaises récoltes, est insupportable à ce petit peuple en proie aux difficultés alimentaires.  La famine bretonne de 1846-1847 est encore dans les têtes. Dans les estomacs aussi. Excédés, les émeutiers jetaient tous les paniers de patates à la mer tout en caillassant la gendarmerie et la troupe de ligne venus rétablir l'ordre avec le sous-préfet Alexandre Chèvremont, palliant à la défection de l'essentiel de la Garde nationale appelée par le maire Gouazon. Place de la mairie, des Servannaises arrêtaient les gardes nationaux. Seule, une quarantaine d'entre eux  ne fit pas défection aux autorités. Dense, la la foule des insurgées et des gardes nationaux dissidents poussait les autorités sur le bord du quai lorsqu'une garde national dissident tira un coup de feu. Voyant l'imminence du danger, le sous-préfet monta sur une borne et ordonna l'usage des armes à la troupe. La foule séditieuse fut finalement refoulée par l'armée, baïonnette aux canons. Il n'y eut à déplorer que des blessés, dont le sous-préfet Chèvremont, alors commissaire du gouvernement provisoire à Saint-Malo.  Peu après la garde nationale désarmée fut dissoute et le sous-préfet félicité par le ministre de l'Intérieur, Antoine Sénard. Puis l'affaire de ces gilets jaunes d'un autre temps fut jugée en cour d'assises à Rennes...
En fait, le registre d'écrous est parlant. Entre le 8 et le 14 septembre, 60 personnes sont écrouées à la maison d'arrêt de Saint-Malo au motif de "rassemblement armé". Parmi elles, un quart de femmes, comme un quart de gens venus de la voisine  Saint-Malo. Hormis un rentier de Laval, ces écroués sont majoritairement des ouvriers et artisans, comptant quelques laboureurs comme quelques ménagères aussi.
Sur le plan judiciaire, l'affaire de la révolte des pommes de terre de Saint-Servan est rondement menée. Deux mois après la commission des faits, précisément du 20 au 24 novembre  1848, l'affaire est jugée aux Assises d'Ille-et-Vilaine à Rennes.  Le 20, 50 des 60 émeutiers écroués comparaissent devant la cour d'Assises. La relation du procès dans La Gazette des Tribunaux précise que les émeutiers servannais tinrent tête au régiment de ligne durant pas moins de douze heures et qu'apercevant les troubles depuis Saint-Malo, des émeutiers malouins tentèrent d'y répandre la révolte, vainement, maîtrisés par une troupe conséquente.  Au terme de cinq jours d'audience, le verdict tombe : de la prison ferme pour treize des cinquante émeutiers servannais. Deux meneuses prénommées Marie écopent de treize mois et onze émeutiers d'un an. Quant à Louis Miniac, il échappe ainsi à la case prison.


A la marge des recherches, nous découvrons que Louis Miniac sera également naturalisé américain le premier août 1873 à Brooklyn (anciennement San Antonio Creek, annexé à Oakland en 1872) dans le comté d'Alameda en Californie.


mercredi

Miniac et Rivière étudiés en collège et lycée

Sur la toile, je découvre au hasard balthazar un vieil ouvrage universitaire qui fait écho à mon travail et à celui de François Rivière : "Cinéma-Ecole : Aller-retour, rapports entre l'acte filmique et l'acte éducatif", Actes du colloque de Saint-Etienne, novembre 2000, textes rassemblés par Didier Nourisson et Paul Jeunet, Publications de l'Université de Saint-Etienne, 2001.

Dans le chapitre Le Cinéma et l'Enseignement de cet ouvrage, un article signé Annick Brillant-Hannequin de l'université Stendhal de Grenoble ( "Les représentations didactiques à l'oeuvre dans l'analyse de films en collège et lycée en classe de français") évoque  une de mes productions : "Notons la place particulière de la bande dessinée Mort sur le Nil de François Rivière et Jean-François Miniac puisqu'elle est l'objet même de l'étude comparée". Je serais curieux de lire cette même étude à propos de notre bande parue voici plus de deux décennies.

Escapade nordiste et picarde

Roubaix et l'extraordinaire musée de La Piscine, Lille, Lens, Albert dans le pays des coquelicots (Somme) aux bords de l'Ancre, Bapaume, la jolie Sailly-Laurette sur la vallée de la Somme et à deux pas de l'abbaye de Corbie (écriture caroline), Lamotte-Warfusée, Moreuil, la belle et historique Crêvecoeur-le-Grand, Breteuil dans l'Oise, Marseille-en-Beauvaisis, Gerberoy (Oise) la magnifique patrie de Le Sidaner, Gournay-en-Bray en Seine-Maritime.

Pierre Tranchand dit Pica, dessinateur hors-pair


 

Je voulais saluer ici Pierre Tranchand, dessinateur  au trait humoristique à la grande élégance qui le place dans la continuité des Albert Uderzo et autres Jean Cézard. Si, prolifique, Pica a dessiné avec dynamisme des milliers de planches durant des décennies, c'est tardivement, à l'aube de la cinquantaine, que le succès populaire est venu à lui, la série Les Profs (2000-2015) avec Gilles Corre couronnant sa longue carrière où émergent deux des séries écrites par son fidèle scénariste François Cortegianni : Marine et Bastos et Zakousky (1981-1986).  Plus encore, il faut aussi souligner sa rare élégance dans la vie, finalement  guère fréquente dans l'écosystème des petits miquets.

lundi

Bretagne : jeu des 7 familles

Durant cette anxiogène période de pandémie au coronavirus, la légèreté doit être de mise. Quoi de plus chaleureux, que les jeux de société à pratiquer chez soi. En voici un qui parait en juin 2020 chez Christine Bonneton : un jeu des 7 familles consacré à la Bretagne. Un belle invitation à découvrir la région tout en jouant avec le cercle de ses proches, amis et famille.

mercredi

Nan Aurousseau, La Grande Librairie


Ce mercredi 16 janvier 2019, Nan Aurousseau est passé à La Grande Librairie sur la 5, une émission enregistrée le mercredi 9. Autant dire que, pour une fois, j'étais rivé devant l'étrange lucarne à scruter cette messe cathodique hebdomadaire.
Notamment aux côtés de sieur Eric-Emmanuel Schmitt, Nan y présentait son dernier roman paru chez Buchet-Chastel : Les Amochés.
Et après un bien naturel moment de flottement initial, il a littéralement crevé l'écran, revenant notamment sur son passé atypique avec sa verve habituelle ! Beau coup pour l'ami Nan car, même si l'essentiel est ailleurs, passer dans une telle émission reste synonyme de forte pression ! Bravo l'artiste ! Cerise sur la gâteau, Nan passera chez Hélène Martin sur France Inter le samedi 26 janvier prochain.

lundi

Philippe Grandcoing reçoit un prix à Brive !


Ce weekend s’est tenue la foire du livre de Brive. Encore des moments d’exception partagés entre écrivains et lecteurs, encore des instants volés et des éclats de rire. Ce vendredi, c’était aussi le jour choisi par les officiels pour remettre à l’historien et romancier Philippe Grandcoing le Prix « Un auteur, un coup de cœur » du Conseil des Sages de la ville de Brive pour son roman « Le Faubourg des diaboliques ». Ce roman a été publié en mars aux éditions De Borée. Il s’agit ici du deuxième tome des enquêtes de l’antiquaire Hippolyte Salvignac. Grâce à lui, c’est tout un univers, celui de Clemenceau et de ses brigades du Tigre qui est restitué, celui de la modernité naissante en cette Belle Epoque finissante entre voitures automobiles et hippomobiles, entre le téléphone naissant, entre la modernité de Paris et une vie campagnarde aux antipodes. Je vous rappelle que se trouvent actuellement en poche « Le Tigre et les pilleurs de Dieu », premier tome, et « Le Faubourg des diaboliques », deuxième tome. Dévoilons ici le titre du tome III qui sortira en mars « Tuer est un art ». Dans cette nouvelle enquête, vous retrouverez la Normandie des vertes eaux et l’enchanteur jardin de Giverny. Claude Monet aurait-il des problèmes ? M’est avis que son ami, Maurice Leblanc, le père pour l’éternité d’Arsène Lupin, sera de la partie pour résoudre une enquête dans le monde de l’art bien tortueuse et épauler notre Hippolyte ainsi que son complice, le flic au grand cœur, Jules Lerouet. En attendant cette date, vous pouvez retrouver l’antiquaire Hippolyte chez les libraires de France et de Navarre.

samedi

Coquineries littéraires de Joseph Vebret


En septembre 2019, l'écrivain auvergnat Joseph Vebret (1957) sort son anthologie intitulée Coquineries littéraires aux éditions Bonneton, sises à Chamalières, ville natale de l'auteur. Boucle bouclée. Romancier couronné en 1998 par la Société des Gens de Lettres, critique littéraire, prolifique essayiste notamment chez L'Archipel et Librio, Vebret propose aujourd'hui ce bréviaire de l'érotisme en littérature paru en 2010 mais depuis épuisé. Au fil des pages de cet almanach insolite et décalé, vous y croiserez Cocteau, Hugo, Louÿs, Millet, parmi tant d'autres entrées. Pour le plus grand plaisir des amateurs de littérature et de plaisirs tout court.

dimanche

Les Amochés, le nouveau roman de Nan Aurousseau


Après Des coccinelles dans des noyaux de cerise, c'est un grand plaisir de vous annoncer la sortie du prochain roman de Nan, Les Amochés :
"Après une vie de bâton de chaise et de nombreuses errances, Abdel Ramdankétif se retire dans le village de montagne où ses parents étaient venus vivre quand ils étaient arrivés en France. Tout a bien changé en quelques décennies : ses parents sont morts, et le village est quasi abandonné... Seuls, Jacky et Monette, un couple de voisins, survivent à la manière de vieux sages. Abdel s’est installé là, loin des hommes et de la modernité dont il se contrefout. À la fête annuelle du village, il a même rencontré Chris, une psychiatre de la ville la plus proche. Leur histoire d’amour a duré trois mois. Peu après la rupture qui a mis notre homme k.o., un événement surnaturel se produit qui va conduire Abdel Ramdankétif au bord de la folie et le mêler aux histoires gratinées d’une étrange famille." Observateur attentif du genre humain, Nan Aurousseau, dans ce nouveau roman noir, explore, avec un regard non dénué d’humour, une certaine province française - avec ses pauvretés et ses amochés. précise Buchet-Chastel. Pour ceux qui suivent notre aventure éditoriale, nous devrions voir paraître cette même année notre récit criminel écrit en commun voici un an, sous une forme plus romanesque. Avec Nan, je prépare un récit romanesque à quatre mains, signé et suivi par un éditeur. Ensemble, nous avons notamment disséqué le dossier d'instruction. Livré à l'éditeur au printemps 2017, le roman devait paraître en juillet mais sa sortie avait malheureusement été retardée, un autre livre sur le même sujet sortant courant août... L'occasion pour nous d'en modifier la forme narrative... Les Amochés, Buchet-Chastel, janvier 2019, ISBN 978-2-283-03119-3.

lundi

Je me souviens...

... de Sébastien Japrisot, un jour de septembre 2018, voici deux décennies. Jean-Baptiste Rossi, alias Japrisot, un type absolument épatant dont la rencontre avait initié mon goût de l'écriture, me l'avait précisément révélé.

mardi

Wislin, peintre.


Charles Wislin, né à Gray en 1852 et mort en 1932, est un artiste-peintre français. Biographie Le Franc-Comtois Charles Joseph Victor Wislin est le fils de Joseph Wislin (1804-1893), pharmacien chimiste à Gray. Il est l'élève de Jules Noël et de Jean-Paul Laurens. La fortune familiale étant assurée par les brevets pharmaceutiques de son père ( conservation de produits alimentaires, dont la viande en 1832, etc.), le licencié en droit Charles Wislin peut mener une vie aisée à Paris, résidant au 46 rue de Rennes, puis au 26, avenue de Wagram à Paris jusqu'en 1891, date à laquelle il fait édifier un immeuble au 28, rue Ballu1. En 1892, la Société J. Wislin et Cie (fabrication du « papier Wlinsi », et des « perles purgatives Guyon »), siège au 31 rue de Seine à Paris.
Charles Wislin se consacre essentiellement à la peinture des paysages de Montmartre et multiplie les voyages, tant en France qu'à l'étranger, notamment en Italie. Il est notamment présent à Fréjus en 1881, à Cabourg en 1900, à Pierrefond en 1901, à Pont-Aven en 1906, 1907, 1910, à Quimperlé en 1910, à Binic en 1911, à Thonon-les-Bains en 1912, à Carolles en 1913 et 1914, à Dinard en 1916 et 1917, à Pierrefitte-Nestalas en 1918, à Argelès-Gazost et à Luz en 1919, à Diekierch en 1925, au château de Jaulzy en 1928, à Tessé-la-Madeleine en 1929. En France, outre Fontainebleau et les côtes picardes, ce paysagiste amateur de photographie peint aussi la Bretagne, le vieux Saint-Servan d'avant-guerre entre autres et son quartier de la Cité d'Aleth, la maison de l'académicien Louis Duchesne où résident sa fille Yvonne et son gendre, l'architecte Alexandre Miniac. Pastels et huiles sur toile de petits formats forment l'essentiel de l'œuvre de ce pleinairiste remarqué dès 1886 par Guy de Maupassant. Durant plus d'un demi-siècle, ses œuvres sont exposées aux Salons annuels à Paris : Artistes français, Indépendants. Actuellement, une grande partie de son œuvre appartient à son petit-fils, l'avocat parisien Marcel Wislin, par ailleurs donateur de plaques photographiques de Lucien Tignole au musée du quai Branly.

Expositions Salon des artistes français, Paris, 1880. Salon des artistes français, Paris, 1881. Salon des artistes français, Paris, 1883. Salon des artistes français, Paris, 1884, salle 27 : deux paysages d'Etretat. Salon des artistes français, Paris, 1885 : "Labour d'automne en Picardie". Salon d'Etretat, été 1885. Salon des artistes français, Palais des Champs-Elysées, Paris, mai 1886. Salon des artistes français, Palais des Champs-Elysées, Paris, mai 1887. Salon des artistes français, Palais des Champs-Elysées, Paris, mai 1888. Toile "Honfleur", salle 29. Exposition universelle de Paris, 1889, exposition de la toile "Journée d'août sur les falaises d'Etretat". En 1889, il devient membre honoraire des artistes français. Salon des artistes français, 1890. Salon des artistes français, 1891. Salon des artistes français, 1893. Salon des artistes français, Champs-Élysées, 1895 : toile "Le champ du repos". Galerie Chaine et Simonson, au 19, rue Caumartin, à Paris : exposition collective en 1899. Salon des artistes français, 1899, exposition des toiles "Ciel sur Montmartre" et "L'église du Sacré-Cœur".. Exposition universelle de Paris, 1900. Cercle de la rue Volney, exposition collective, 1901. Cercle de la rue Volney, exposition collective, 1902. Cercle de la rue Volney, exposition collective avec Charles Léandre, André Devambez et Lucien-Victor Guirand de Scevola, 1905. Salon des artistes français, Grand-Palais, Paris, 1906. Salon de la société des Indépendants, Jardin des Tuileries, Orangerie, 1906. Sept toiles dont "La retenue au Tréport", "Blés à Moussy", "Saint-Gilles à l'Ile-Bouchard", "La Vienne à L'Ile-Bouchard", "Roches à Trestraou" et "Le château à Trestignel". Salon de la société des Indépendants, Jardin des Tuileries, Orangerie, 1908. Cinq toiles : "La mer à Perros-Guirec", "A Trestraou", "Côte de Port-Manech", "La pointe de Trévignon" et "La chapelle Saint-Philibert" . Salon de la société des Indépendants, Jardin des Tuileries, Orangerie, avril-mai 1909. Deux toiles : "Marée basse à la baie du Hénant, Finistère" et "Larchant, novembre". Salon de l'Ecole française, Grand-Palais, Paris, janvier-février 1911. Wislin est membre du jury. Salon d'hiver, Grand-Palais, 1926, Salon d'hiver, Grand-Palais, février-mars 1930. Six toiles dont "Saint-Valéry-sur-Somme", "Le fort national à Saint-Malo", "Le Tréport". Wislin est alors sociétaire du salon d'hiver. Salon d'hiver, Grand-Palais, février-mars 1933. Depuis 2006, le Musée d'Orsay référencie Charles Wislin (Notice Artiste n° 79710). Prix Wislin est primé à l'Exposition Universelle de Paris en 1900. Critique "Une petite charrue abandonnée est peinte avec grand talent par M. Wislin" Guy de Maupassant, journal Le XIXe siècle, 10 mai 1886, à propos du Salon. Collections Wislin est présent dans les collections de : Charles Hermann-Léon, Notes et références 1.↑ Photographies de la façade sur bricksinparis.blogspot.fr Sources (fr) Emmanuel Bénézit, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays (14 vol.), éditions Gründ, 1999 (4e édition) (ISBN 2-7000-30109) Charles Watt, A monthly journal of chemical and physical science, London, 1842. Annales d'hygiène publique et de médecine, Baillière et fils, Paris, juillet 1857. Théodore Véron, Dictionnaire Véron, Salon de 1880, Bazin, Paris, 1880 (article sur Wislin, p 505). Théodore Véron, Dictionnaire Véron, Salon de 1881, Bazin, Paris, 1881( long article sur Wislin, p 493). Emile Bellier de la Chavignerie, Dictionnaire général des artistes de l'Ecole Française, 1882,long article sur Wislin p 725. Eugène Véron, Courrier de l'Art, hebdomadaire, 1883. Citation de l'envoi de Wislin au Salon de 1883, page 171. Théodore Véron, Dictionnaire Véron, Salon de 1884, Bazin, Paris, 1884 (article sur Wislin, p 407). L'Europe artiste, 6 janvier 1884. Le Monde illustré, 14 juin 1884, critique élogieuse sur sa participation au Salon. Gil Blas, 16 septembre 1885, citant Wislin. Le Radical, premier mai 1888, article sur le Salon citant l'envoi de Wislin. Auguste Dalligny, Agenda de la curiosité, des artistes et des amateurs, Journal des Arts, Paris, 1889. Le Gaulois, 26 avril 1895, citation d'un envoi de Wislin. Le Gaulois, 12 avril 1899, citation de Wislin. Le Rappel, 26 janvier 1901, article sur l'exposition du cercle Volney citant l'envoi de Wislin. L'Humanité, 27 février 1905, citant positivement Wislin à sa Une. L'Aurore, 21 janvier 1911, citation de Wislin. La France judiciaire, 5 juin 1932, annonce du décès de Wislin. Léo Kerlo et Jacqueline Duroc, Les peintres des côtes de Bretagne, tome 4 (de Quimper au Pouldu), Chasse-Marée-Glénat, 2006. (ISBN 9782914208833) Dictionnaire des Peintres à Montmartre, éditions André Roussard. 
Cote : les prix en vente publique varient entre 80 et 500 euros selon le format des huiles. De facto, les cessions sont faibles.

Seconde carte postale


Une nouvelle carte postale de la rue des Forges à Bazouges-la-Pérouse(35), œuvre d'Alexandre, est en cours de réalisation avec l'aimable autorisation du collectionneur Pierre-Henri Brunet.

jeudi

Bazouges


Une aquarelle de Bazouges-la-Pérouse brossée par Alexandre, collection Michel Brunet, est désormais éditée sous forme de carte postale par nos soins.

samedi

Des coccinelles dans des noyaux de cerise - Nan Aurousseau


Après six romans parus dans la prestigieuse collection Bleue chez Stock, remarqué par feu Jean-Marc Roberts, le romancier Nan Aurousseau sort en janvier 2017 un nouveau volume, Des coccinelles dans des noyaux de cerise, chez l'éditeur Buchet-Chastel. "Une histoire vraie, terrible", selon les propres mots de l'auteur qui place son nouvel écrit sous le double signe d'Alfred Jarry et de Jim Thompson. Des coccinelles dans des noyaux de cerise, Buchet-Chastel, janvier 2017, ISBN : 978-2-283-02963-3, EAN : 9782283029633.
C'est dans le Cantal durant l'été 2016 que Nan Aurousseau a tourné son troisième long-métrage, Jour de Pêche, d'après une histoire authentique advenue à l'un de ses amis, avec Jean-Hugues Lime et Kachev notamment. Richard Bohringer a fait une apparition dans ce film dont la sortie est prévue à l'été 2017. Nan a tourné ses deux dernières scènes courant janvier 2017. L'avant-première du film a eu lieu le 10 juin 2017 au Saint-André-des-Arts à Paris. Le métrage est présenté dans le cadre du Festival du Film Francophone à Angoulême le 25 août à 18 heures à la salle Laloux du CBDI. Avec Nan, je prépare depuis début 2016 un récit romanesque à quatre mains qui, signé et suivi par un éditeur, devrait paraître prochainement. Ensemble, nous avons notamment disséqué le dossier d'instruction. Entre autres. Livré à l'éditeur au printemps 2017, le roman devait paraître en juillet mais sa sortie a malheureusement été retardée à la suite de la sortie annoncée d'un autre livre sur le même sujet courant août. Cela nous permet d'en changer la forme romanesque.

"Romain Souber" et Romain Souverbie : un même peintre.


Je recherche tout renseignement sur l'artiste Romain Souverbie alias "Romain Souber".
Six femmes, huile sur toile, signé R.Souber en bas à gauche, format 65 par 100 cm. (Cession Tradart Deauville, maître James Fattori). Si l'huile est non datée sur le catalogue, la facture est d'évidence du XXe siècle. En tapant "Souber" sur le moteur de recherche, un seul document apparaît, un catalogue d'expo. Bibliographie : * Romain Souber, peintures récentes, dessins: catalogue de l'exposition à la Galerie Gérard Mourgue (Librairie), Paris, du 5 au 18 avril 1963, Éditeur La Galerie, 1963. Peintre du XXe siècle, Romain Souber expose donc dessins et peintures à la fameuse galerie Mourgue, à Paris, en avril 1963. Un autre "Romain Souber" est jadis passé aux enchères à Drouot : * Romain Souber, « Composition à l'atelier », huile sur toile signée en bas à gauche, 46 x 37 cm. Bref, si tant est que la signature "R. Souber" soit celle de ce Romain Souber, ma toile est l'une des deux seules connues sur le net. Curieux pour une huile dont la qualité démontre un incontestable métier et donc une trajectoire artistique. C'est tout ce que révèle internet de ce bien mystérieux artiste au talent affirmé mais si discret.. Intriguant.
Ce d'autant que la galerie Mourgue s'avère une prestigieuse galerie parisienne. Si elle a accroché les œuvres de Souber à ces cimaises, parmi les noms de la Nouvelle école de Paris, c'est que le peintre a une œuvre derrière lui...
Romancier couronné par divers prix de l'Académie française, président-directeur général adjoint de la Librairie Julliard, chef de service des émissions littéraires de l’ORTF, puis de Radio-France et de France Culture, le galeriste Gérard Mourgue (1921-1995) dirige alors cet ensemble de librairies et galeries parisiennes( 29, boulevard Raspail et 9, avenue de l'Opéra). Les galeries Gérard Mourgue exposent aussi Maurice-Elie Sarthou (1911-1999) en 1957, Sabine Darrigan et Jean Cocteau en 1957, Georges Artemoff (1892-1965) en 1958, George Choquet-Perez (1923-) en 1959, Richard Jeranian (1921-) en 1959, Jacques Yankel (Jakob Kikoïne au civil) après 1959, Raymond Mirande en 1960, Monique Le Beguec (1929-) en 1961, Jacques Palumbo (1939-) en 1962, Rafel Tona (1903-1987) en 1962, 1963 et 1966, André Sablé (1921-2013) en 1963, Janine Béraud ( épouse de Marcel Arland) en 1963, Victor Laks (1924-2011) en 1963, Jean-Pierre Charpy (1935-) en 1964, Lydie Chantrell (1931-) en 1965, Jacques Chevalier (1924-) en 1965, Jean Bertholle (1909-1996) en 1966, Jean Cuillerat (1927-1998) en 1966, Georg Firmans en 1966, Georges Arnulf en 1967, Etienne Blanc en 1967, Hrair Diarbekirian (1946-) en 1967, Gérard Economos (1935-) en 1967, Jean Nicolle en 1967, Camille Hilaire en 1968, Kazimierz Dzyga en 1968, Libor Sir (1933-) en 1970, Barkev, Mohamed Bouzid (1929-2014).
Huile de Camille Hilaire. Il écrit également une monographie sur Hilaire en 1975 et participe à une monographie sur Boncompain paru en 2005.
HYPOTHESE : Une hypothèse apparaît, à la suite de mes recherches infructueuses sur la toile. Et si ce nom de Souber, rare et une seule fois référencé comme peintre pour l'expo chez Mourgue, était finalement un pseudonyme ? Et, si oui, de qui ? Parmi d'autres, le patronyme Souverbie m'apparait au fil de mes recherches sur le net. "Romain Souber", tel que l'indique le catalogue de la galerie Mourgue, serait-il le peintre Romain Souverbie (1929-), fils du peintre cubiste et académicien Jean Souverbie (1891-1981) ? (L'étymologie de Soubervie provient de l'agglutination de mots d'occitan, dont sober. Variante graphique : Souberbie. En graphie alibertine : Sobervia.) Jeune peintre, 34 ans en 1963, Romain Souverbie aurait-il adopté ce pseudonyme afin de se distancer de la brillante carrière académique de son illustre père exposé chez Bernheim-Jeune ?
Toile de Jean Souverbie. Au soir du 16 août 2016, après avoir glané des informations sur ce peintre dont les jalons biographiques pourraient correspondre, je pose une question publique, au hasard balthazar, sur le blog Blogruz d'un cousin de Romain Souverbie. La grand-mère de ce monsieur est Marcelle Souverbie, sœur de Jean Souverbie et tante de Romain. : " Bonsoir Monsieur, Je possède une toile signée "R.Souber", probablement de "Romain Souber", lequel peintre exposa à la galerie Mourgue en avril 1963. Je me pose la question de savoir si, derrière ce pseudonyme, ne se cacherait pas Romain Souverbie, né en 1929, fils du fameux Jean Souverbie ? Ma question s'apparente à une bouteille à la mer, mais, sait-on jamais, peut-être attendra-f-elle votre rivage ? Au plaisir, Jean-François Miniac." A cette improbable demande, je reçois une sobre et rapide réponse de la part de ce cousin, qui n'est autre qu'un écrivain, Rémi Schulz (Sous les pans du bizarre, Baleine, 2000) : "Bonjour JFM, il s'agit bien de Romain Souverbie." Nouvelle épatante, que cette confirmation validant mon intuition.
ROMAIN SOUVERBIE Élève de l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts à Paris où son père est alors chef d'atelier (1945-1962), Romain Souverbie est à 26 ans lauréat de la 26e promotion artistique de la Casa Velásquez, à Madrid, en 1955-1956. Ce pensionnaire de la Casa Velásquez, l'Académie de France en Espagne alors dirigée par Paul Guinard, y est encore présent une dernière année en 1956-1957, notamment avec le peintre concarnois Jean Le Merdy (1928-2015). Le Merdy est élève de Jean Souverbie à l'ENSBA de Paris dès 1949, tout comme l'admirable Philippe Lejeune (1924-2014), élève dès 1943 ou encore André Even, Jean Pierre Cassigneul, Jean Chevolleau, Claude Gaveau, Paul Collomb, Françoise Gilot (1921- ; compagne de Picasso de 1944 à 1953), Jean Maufay, Alain Le Nost, Georges Rocher, Yves de Valence et Wu Guanzhong. En 1961, Romain Souverbie devient professeur de peinture à l'école des Beaux-Arts de Dijon. De 1987 à 1992, il y enseigne toujours. Selon l'un de ses étudiants, François Lamy, Romain est un "amoureux inconditionnel de Pablo Picasso, période rose comme période bleue", tout comme son père, peintre cubiste figuratif apprécié de Maurice Denis et influencé par Picasso dont il est ami. L'Espagnol a d'ailleurs visité l'atelier de Jean à l'école du quai Malaquais. Son fils Romain a aussi rencontré le maître du cubisme à Vallauris où ce dernier résidait avec Françoise Gilot de 1948 à 1953. "Yves de Saint-Front est à Vallauris, son ami Romain Souverbie rencontre Picasso ; enthousiaste, il propose à Yves de l'introduire près du maître. Il décline l'offre et l'avoue si simplement que je ne comprends pas." indique Gilles Artur, conservateur du musée Gauguin à Tahiti, au sujet du peintre Yves Durand de Saint-Front (1928-2011), fils du célèbre peintre maritime Marin-Marie et élève de Jean Souverbie dès 1947 aux Beaux-Arts de Paris. "J'étais pourtant revenu à Paris depuis, mais je n'avais pas pensé aux tableaux familiaux, et l'évidence dorée m'a fait contacter un fils de Jean Souverbie, Romain, peintre également, lequel m'a appris qu'effectivement le nombre d'or avait été essentiel pour son père, qu'il avait construit son propre compas de proportions, qu'il l'utilisait intensivement dans sa peinture... En 1946, année de son élection à l'Institut, il avait été également appelé à enseigner dans une académie privée de peinture, qu'il avait rebaptisée Académie de la Section d'Or...", écrit Rémi Schulz, féru du nombre d'or, sur son blog pointu. A suivre donc ! Eu égard à la qualité de la toile acquise sur un coup de tête, j'aimerais beaucoup en connaître davantage sur l'oeuvre de ce mystérieux Romain Souverbie, lauréat du prix de la Casa de Velásquez 1956, dont le brouhaha numérique ne distille que de trop rares informations. "Romain est toujours en vie, et accessible à Fontaine-lès-Dijon." me précise ensuite Rémi Schulz. De fait, le 18 août, j'envoie un courrier postal à M. Souverbie, en espérant que ma curiosité artistique n'importune pas cet homme de 87 printemps.
Par ailleurs, réceptionnant la toile à Deauville le 18 août, je découvre une mention "Souverbie" inscrite au crayon sur le cadre, lequel est également tamponné de la maison du quai Voltaire, "Sennelier". Je découvre aussi une date, "62", juste après la signature. Question : cette toile aurait-elle été exposée chez Mourgue ?
Wait and see...

Sorolla à Giverny


lundi

Alain Loison, ses Nouveaux Mystères.


Voici quatre ans maintenant, j'avais eu le loisir de présenter le travail de l'ami Loison aux éditions de Borée. Depuis, l'eurélien Alain Loison a publié trois ouvrages d'histoire dans la collection Histoire de Documents de la maison d'édition, dont celui-ci :
Prochainement, au printemps 2016, sortira son nouvel opus chez de Borée : Les Nouveaux Mystères d'Eure-et-Loir. Amateurs de récits historique, courez-y sans hésitation. L'homme est sympathique, le chercheur en histoire pointilleux, le banquier révolu. A la suite de l'inopiné redressement judiciaire des éditions de Borée qui s'étala de septembre 2015 à mars 2016, la sortie du titre fut malheureusement reportée à une date ultérieure, comme Les Nouvelles Affaires Criminelles de Normandie et Les Mystères de Bourgogne. ... Finalement, le voici paru en ce printemps 2016 pour le grand plaisir des Euréliens férus d'histoire. Et les autres.